Histoire de Mackenzie Reeser Tall

Mackenzie Reeser Tall :

Citation :: Et bien … En Dix mois, ils s’en aient passé des choses. Après l’effondrement d’une partie du château, la demoiselle MacKenzie est rentrée bien sagement avec sa sœur, dans son pays natal, l’Allemagne. Mais bon, on ne peut s’empêcher d’avoir un pincement au cœur, d’avoir le cœur gros, de quitter les amis avec qui vous avez vécus pendant deux ans. Les larmes qui montent, mais qui finalement s’estompent avec le temps … Une fois rentrée à la demeure des Reeser Tal, MacKenzie et sa sœur furent accueillies comme à chaque fois qu’elles étaient avec leur parents. C’était froid, et tendu. Mon bon, maintenant, occupons nous de MacKenzie. La jeune femme n’arrivait pas à calmer ses émotions, et restait stoïque, refermée sur elle-même. Pendant quelques semaines ce ne fut que : Manger, Se Laver, Dormir, quelques hobbies et lamentation … Mais vite vint le jour où MacKenzie se rebella. MacKenzie commença à sortir avec beaucoup de garçons, des coups d’un soir jusqu’à ce qu’elle soit enceinte, et cela sans que ses parents le sachent. Mais une fois cela découvert, ses parents, couvrirent toutes traces de cet incident, également à sa sœur. Tient tiens, à près cette période difficile alors que MacKenzie, future gouvernante d’Allemagne, venait de se faire voler son seul avenir. Sa sœur, Arielle, allait gouverner pendant deux semaines ! Soit disant pour avoir une deuxième chance … MacKenzie, à son habitude, n’aurait jamais été jalouse, mais là, avec tout ces évènement, la jeune fille était dépassée, de plus, elle aurait pût crever la bouche ouverte, personne ne s’en serait rendu compte. C’était Arielle … Arielle, Votre Excellence Patati et Patata xD. Durant ces quelques semaines, où s’enchainaient gaffe sur gaffe, MacKenzie avait murie, s’était forgé un caractère beaucoup plus fort, mais au fond, elle voulait qu’on s’occupe d’elle. Elle avait le sentiment d’être délaissée. Mais en fin de compte, c’était peut être ce que ressentait sa sœur avant, quand elle était petites, puis adolescentes. Un jour, Arielle qui désemparée de ne pas être encore à la hauteur pour gouverner, vint se confesser auprès de MacKenzie. Tout de suite, elle compris qu’Arielle n’était pas si méchante que ça, mais qu’en fait elle s’était elle-même crée une carapace afin de cacher ses faiblesses, mais cela ne faisait qu’aggraver la chose. MacKenzie finit par se réconcilier avec sa sœur. Maintenant, elles ne pouvaient plus se quitter, c’était deux aimants, que personne n’aurait pût décoller. Mais, bientôt fut venu l’heure de goûter au pouvoir. MacKenzie, était prête, avec tout ce qu’elle avait étudié. Heures après heures, jours après jours, la jeune femme était partout dans le pays. Interviews, conférences de presse, Défilé, Débats, tout s’enchaînait sans qu’elle puisse se reposer, mais ce fut avec succès que ses parents la félicitèrent. La pauvre Arielle, qui elle avait échouer, mais bon, ce n’était pas si grave, car elle avait toute la vie devant elle. Après ces quelques semaines de travail intense, les parents de MacKenzie lui autorisèrent de reprendre son statut de Princesse Héritière. Un Jour de grand soleil et de joie, là où les larmes s’étaient estompées et que le sourire avait été retrouvé, les deux sœurs trouvèrent une lettre avec inscrit dessus Highland Castle. Le moment fatidique était arrivé, elles devaient reprendre le droit chemin de futures gouvernantes, à mon plus grand regret. Pourquoi ? Car durant ses dix mois, J’avais pût m’épanouir, devenir adulte et retrouver le sourire, une chose qui aurait bien pût s’effacer de mon visage à force d’être enfermée dans ce château. Mais bon, MacKenzie dût bel et bien faire ses bagages et retourner là-bas. Tout avait changé, même certaines personnes qui en changeant étaient même devenues décevantes. De plus maintenant, ils fallaient se protéger de tout le monde. Les secrets les plus grands, seront-ils dévoilés où bien gardés ? Sa personne ne le sait car au fond, désormais tout a changé, les gens ne sont plus les mêmes, peut être que la soif de pouvoir les ronges de l’intérieur et qu’ils ne veulent qu’une seule chose, écraser tout ceux qui seront sur leur passage. Mais malgré la chance d’être une noble, moi, MacKenzie, Reeser Tal de mon nom, je vous jure que je ne serait jamais aussi égoïstes que ces personnes, qui pour moi, les ayants connus, sont désormais des inconnus …

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